Installée dans son atelier-galerie de Deauville, Yannick Tranquillin-Peyroux vit un conte de fée. Après une carrière dans l’immobilier, elle se consacre à son rêve de petite fille. Et le rêve devient réalité…

Yannick Tranquillin-Peyroux est une femme pétillante. Amoureuse de la vie, des belles choses et de la peinture, elle fait le pari un peu fou de tout quitter pour réaliser son rêve d’enfance, devenir peintre. « Ma mère me disait de faire carrière avant de me lancer ». Yannick Tranquillin-Peyroux a donc démarré dans la profession d’agent immobilier de luxe, ici même à Deauville. « Je suis originaire du Sud-Ouest mais très jeune, mes parents ont acheté une chaumière dans l’Eure. Arrivée en Normandie, j’ai été séduite par Deauville, avec son charme villageois la semaine et son activité urbaine le week-end« .

Yannick Tranquillin-Peyroux passera 22 ans à vendre des demeures augeronnes mais malgré ses compétences dans ce domaine, une chose lui manquait : sa passion de peindre.

En 2004 le défi est lancé, elle peindra désormais pour son épanouissement personnel. Puis l’envie de partager son bonheur prend le dessus, elle se décide à être reconnue comme artiste. Elle retrouve alors les bancs de l’école, ceux des Beaux Arts de Caen puis vient la capitale où elle suit des cours au Carrousel du Louvre.

Femme de caractère avec des oeuvres aux pigments sombres où des objets trouvent une deuxième vie, elle est aussi douce et généreuse. Son art est son reflet. Devant ses toiles nul n’est insensible aux immensités des ciels représentés. Et la tête dans les nuages, on se laisse guider dans les rêves de l’artiste, jusqu’à s’échouer sur cette plage imaginaire. Sa peinture est captivante et tout comme elle, pleine d’amour. « Je joue beaucoup avec les effets de lumière, comme celle que j’ai dans le coeur. Je peinds avec amour, élément indispensable d’une vie réussie. Je ne peux laisser aller mes pinceaux que lorsque je suis sereine ».

Sa générosité, Yannick Tranquillin-Peyroux la pousse jusqu’aux extérieurs de la toile, ses personnages tournés vers l’avenir, et ses paysages sont par définition infinis. « Je hais les cadres dorés qui enserrent une oeuvre et ne la laisse pas respirer. Ma peinture est libre et entière, tout comme moi. D’ailleurs, si je le pouvais, je prolongerais mes toiles sur les murs de mes clients ».

Et des clients amateurs d’art, l’artiste en a séduit plus d’un, tout comme les professionnels d’Honfleur, Lyon et Paris où elle part exposer au Grand Palais du 22 novembre au 2 décembre 2007. C’est d’ailleurs dans ce même endroit parisien qu’elle a été remarquée pour une autre exposition, à Shangaï cette fois. « A ce moment, je n’aurais jamais imaginé vivre un tel conte de fée ». Installée à Deauville, sa galerie et ses peintures rencontrent un grand succès.

Rêve, bonheur, passion, amour et générosité, voici les mots avec lesquels vit et peint l’artiste. C’est une belle leçon de vie que donne ainsi Yannick Tranquillin-Peyroux, celle d’oser tout quitter pour renaître une seconde fois, comme une deuxième vie de son vivant.

Article d’Armel Dubourg – Août 2007

Yannick Tranquillin-Peyroux

Si d’aventure vous vous trouvez devant une toile de Y. T-P., faites attention, vous aurez du mal à vous détacher… Ce doit être l’appel du large. Ou plutôt celui des grands espaces. Vous aurez sans nul doute envie d’entrer dans ce paysage de bord de mer, de devenir vous aussi cette silhouette minuscule qui se promène, solitaire ou accompagnée d’un ami, d’enfants, de chiens, de mouettes rieuses… Sous un ciel prodigieux, chargé de nuages lumineux et flamboyants, fous et amusants. Un ciel infini qui se joue des roses et des gris, des bleux et des ocres. Jamais le même, toujours en mouvement, s’enflant selon les caprices du vent.

Jamais menaçant, même lorsque de noires nuées s’inscrivent à l’horizon. Toujours rebondissant dans les vagues, elles aussi toujours animées, vivantes ; dans la mer qui réfléchit comme par un jeu de miroir les couleurs du ciel et fait trembler les frêles promeneurs comme dans un mirage.

Quel magicien a su capter cette atmosphère si particlulière, rendre presque palpable l’harmonie de certains instants, rendre tangible l’apaisement d’une soirée d’été, la tendresse d’une aurore, la vibration de la lumière qui perce les nuages ?

Une atmosphère

Le magicien est… Une magicienne. Elle s’appelle Yannick Tranquillin-Peyroux. Son secret : elle a toujours rêvé de peindre. Sa carrière professionnelle l’a entrainée dans un tout autre domaine. Mais depuis 1997, elle se consacre entièrement à sa passion. En autodidacte. Sûre d’elle. Sûre de ce qu’elle veut faire. Son désir le plus profond : retranscrire la sérénité. Si elle y parvient si bien c’est parce qu’elle ne peint que lorsqu’elle est pleinement heureuse. Alors elle se livre totalement sur la toile, travaille au pinceau, avec la main, la paume… Certaines oeuvrent lui demandent une semaine, d’autres quatre mois. Elle ne s’autorise à signer que lorsqu’elle sent que la toile a atteint la plénitude de son rêve. Sa plus grande réussite alors est de voir les yeux des visiteurs s’éclairer, de voir leur sourire, de leur donner un instant de bonheur.

Brigitte des Isles – Arts actualité magazine.

Déjà toute petite fille, Yannick Tranquillin-Peyroux jouait avec les couleurs et rêvait d’être peintre. Sa mère, soucieuse de son avenir, ne l’entendait pas de cette orelle et jugeait plus prudent de l’orienter vers la gestion immobilière. Responsable d’une agence immobilière à Deauville dans le cadre enchanteur du Calvados, elle imbibait son regard des beaux paysages verdoyants et du merveilleux spectacle du ciel et de la mer.

Après plus de vingt ans d’activité intense dans le secteur immobilier, elle a un jour tout abandonné pour vivre pleinement sa passion de la peinture. Elle a pu enfin se consacrer à son art et s’offrir un nouveau départ sinon une deuxième vie. Elle a fait le courageux et héroïque challenge de vivre « une seconde vie de son vivant ».

Il faut bien du courage pour oser, à un âge mûr, tourner le dos au confort, quitter une carrière solide et miser sur la précarité de l’aventure artistique. Yannick Tranquillin-Peyroux a appris en peignant que tout ce qui existe peut avoir une seconde vie… Il y a la naissance et la renaissance. Il ne faut pas s’arrêter aux apparences et ne pas accepter les limites. Il faut s’inventer de nouvelles vies au sein propre de sa vie, voilà le message de Yannick Tranquillin-Peyroux. Chacune de ses toiles est une nouvelle naissance. Les plages de Normandie constituent, en quelque sorte, le terreau de ses tableaux.

De même que Boudin, elle a su extraire du ciel de Normandie de belles toiles témoignant de l’extraordinaire spécificité de cette province de France si appréciée par les peintres pour la remarquable qualité de la lumière. La peinture de Yannick Tranquillin-Peyroux est forte de formes et de couleurs, mais aussi de sagesse, de force et de douceur. Sa peinture coule de source, comme la Touques, l’Yvie, l’Iton et la Calonne en Pays d’Auge.

Son univers pictural se révèle à elle dans la paix de l’esprit, mais cela ne veut pas dire qu’elle ne se bat pas contre la toile et contre elle-même. Elle maîtrise, canalise et oriente avec sérénité l’énergie créatrice qui la traverse. Elle éprouve un réel bonheur à mélanger matières et couleurs. Il lui arrive parfois de prendre de vieux chiffons et de vieux pinceaux qu’elle n’arrive pas à jeter, pour leur donner une seconde chance en les installant sur la toile. Cette métamorphose de l’objet qui passe de l’inutile à l’esthétique, du trivial à l’exceptionnel, prend valeur de transfert métaphorique… On retrouve dans cette expérience avant-gardiste la philosophie chère à Yannick Tranquillin-Peyroux selon laquelle il y a plusieurs vies dans une vie.

Elle entre dans l’expace pictural forte d’une telle vigueur qu’elle ne sait plus comment ça commence, ni comment ça finit. Car chaque tableau est un voyage dans l’univers des formes et des couleurs. Ses visions chromatiques veulent respirer la beauté. Habitant en bord de mer en Normandie, elle veut transmettre la vérité et l’intensité de ses émotions. Dans le sillage de boudin, Bouyssou, herbo, Sébire, alacio, Hambourg et Pollaci, elle veut faire chanter le ciel de Normandie. Elle se fixe pour objectif de réussir sur la toile le dialogue enchanteur entre le ciel et la mer. En méditant sur ses toiles, on a le plaisir de partager son rêve.

Impressions d’artistes.

Yannick Tranquillin-Peyroux

Accueillie du 1er au 30 juin par le Théâtre du Moulin d’Andé, Yannick Tranquillin-Peyroux vit une seconde naissance à travers la peinture. Un vieux rêve qui, pour elle, est devenu réalité.

Il y a trois ou quatre ans, le Journal d’Elbeuf lui décernait un prix pour une toile exposée à l’espace Franklin. C’était la première fois qu’elle montrait son travail dans l’agglo. Pour cette élégante Deauvillaise, qui passa plus de vingt ans à vendre de belles demeures dans le Pays d’Auge, le retour à la peinture fut un peu une seconde naissance et une chance qu’elle saisit à bras le corps. « Peindre, c’est se remettre à aimer » dit un livre d’Henri Miller, prodigieux romancier et auteur légendaire de Plexus.

Rien n’est plus vrai, sans doute, pour Yannick Tranquillin-Peyroux. Lorsqu’elle était enfant, Yannick, en effet, cultivait un désir secret : devenir peintre. Elle ne devait, toutefois, revenir vers sa passion qu’avec l’âge mûr. Parvenue au fait d’une carrière qu’elle menait avec succès dans l’immobilier de luxe, elle comprit un beau matin que sa vie était ailleurs, dans le domaine de la création. Délaissant sa riche clientèle, elle décida de changer d’existence, ce qui représentait alors un saut dans l’inconnu. Mais quel bonheur lorsque l’on peut ainsi prendre un nouveau départ !

Entièrement autodidacte, Yannick Tranquillin-Peyroux reprit pour 3 ans ses études à l’école des Beaux Arts de Caen. Soutenue par l’un de ses professeurs, une femme très impliquée dans l’art contemporain, elle apprit à parfaire son approche du dessin et de la composition. Après quoi elle suivit, pendant un an, les cours du Carrousel du Louvre.

Cette initiation de quatre ans accomplie, une route s’ouvre alors devant elle. Un travail assidu allait progressivement l’aider à s’accomplir. Contrairement à une croyance populaire, l’art exige un effort constant et une volonté farouche. Aujourd’hui, Yannick Tranquillin-Peyroux possède son atelier-galerie au coeur même de Deauville, la cité balnéaire aux allures de village résidentiel. Elle y reçoit touristes et collectionneurs de passage. Et il n’est pas rare que l’un d’entre eux tombe amoureux de sa peinture. Sa manière de travailler la matière est, il faut le dire, assez originale.

« Zen »

Pour peindre, il faut, avoue l’artiste, une certaine sérénité. On le comprend. S’ouvrant sur un espace imaginaire, les tableaux de Yannick Tranquillin-Peyroux vous entraînent loin du monde et du bruit, passant des grèves sableuses aux profondeurs marines, dans un domaine exempt de stress et d’ambitions factices. Nous ressentons, face à ces oeuvres, une impression de calme bienfaisant, ce côté « zen » dont la vie trépidante d’aujourd’hui nous éloigne un peu plus chaque jour. Tout dans cette peinture pousse à l’introspection, au repos, à la méditation. « Qui contemple les eaux bourbeuses manque les eaux claires », dit un texte inspiré de Tchouang-Tseu, le grand philosophe taoïste dont on tirerait profit à revisiter la doctrine en cette période où l’affairisme fait plus de victimes que les tornades.

La peinture bien comprise nous ramène, en effet, à une sorte d’espace premier, ce territoire où l’homme et la vie ne cessent de fusionner en harmonie. C’est de cela même qu’il s’agit dans la démarche de Yannick Tranquillin-Peyroux dont nous invitons nos lecteurs à découvrir les oeuvres. Entouré de son écrin de verdure, le Théâtre du Moulin d’Andé vaut lui aussi le détour. Le 7 juin, soir du vernissage (qui aura lieu dès 18h), un pétillant cabaret jazz est proposé aux amateurs par le Leila Olivesi Trio. Il est prudent de réserver.

Louis Porquet – Le Journal d’Elbeuf

Variété, goût et talent

Yannick Tranquillin-Peyroux, première exposition

C’est dans le cadre détendu du premier salon de l’art où les artistes ne sont pas en compétition que Yannick Tranquillin-Peyroux a choisi de dévoiler ses oeuvres au public. Après une carrière dans les affaires, cette jeune femme est venue à la peinture il y a trois ans. « Je réalise mon rêve de petite fille », confie-t-elle. Mélangeant les couleurs avec bonheur, elle réalise des natures mortes, des paysages et surtout des marines. « J’adore tout ce qui a rapport avec l’eau, mais je réalise toutes mes toiles à l’inspiration, sans modèle », ajoute l’artiste, qui s’est installée dans notre région, veut maintenant se consacrer entièrement à son art.

Au vu de son talent, elle devrait figurer prochainement parmi les artistes de renom.

L’éveil de Pont-Audemer – Premier salon de l’art

Yannick Tranquillin-Peyroux

Le 20ème salon de peinture des artistes contemporains s’est déroulé à la salle Jean Delannoy de Bueil. Il était organisé par l’Union artistique de la commune et avait six invités d’honneur prestigieux.

Ils étaient 22 artistes à présenter leurs oeuvres au public, dont des memebres de l’Union artistique. Toutes les tendances de l’art pictural étaient représentées avec 91 oeuvres que le public a dévoré des yeux. A l’heure du vernissage, le maire Michel Duval a salué la présence des sénateurs Jean-Luc Miraux et Joël Bourdin, Pascal Lehongre, conseiller général et Claude Pichon, vice-président de la CAP chargé de la culture. « Mes remerciements iront à Mickaël Sigot, l’initiateur de la première exposition, aux artistes, aux invités d’honneur qui donnent un titre de noblesse, à la mariane de l’expo Jacqueline Gougis », a déclaré le maire.

Pascal Lehongre et Claude Pichon ont félicité les organisateurs pour la qualité de l’exposition. « L’art est souvent relégué un peu loin, d’autres communes ont repris l’idée. La CAPE apporte l’art dans le monde rural », a ajouté Jean-Luc Miraux. Le prix de la municipalité a été décerné à Roger Viel.

Le prix du jury a été attribué à Yannick Tranquillin-Peyroux, Jean-Claude Milliet et Sophie Latron-Ruiz.

Madame Tranquillin-Peyroux se consacre à son rêve d’enfant depuis 1997 où elle fait les Beaux Arts à Caen puis un an au Carrousel du Louvre. Elle travaillait dans l’immobilier de prestige avant de se lancer dans la peinture. Elle exposera au printemps en Belgique et au salon des indépendants à Paris du 21 vril au 1er mai. « J’aime la peinture contemporaine, les grands espaces et la mer », a souligné l’artiste, très heureuse d’avoir obtenu un prix pour sa première exposition. Elle a connu Bueil par l’intermédiaire de Jacqueline Gougis et de Jacques Aubry.

Eure Infos, n°1520 – mercredi 27 octobre 2004

Michel Delouvée, le président de l’association de l’union artistique de Bueil, était sous pression samedi. Avec son équipe, il voyait et revoyait tous les détails de son vingtième salon de peinture.

A l’ouverture, tout était en place. Les vingt-neuf artistes dont six invités d’honneur ont pu présenter leurs oeuvres.

Dans la bonne humeur, le jury a donné son avis pour la remise de trois prix. Michel Duvoisin, Royston Ecroyd, André Ferey, Jacqueline Gougis, Jacques Lejeune, Claude Texier se mirent en chasse des meilleures oeuvres.

Finalement, Sophie Latron-Ruiz, Jean-Claude Millet et Yannick Tranquillin-Peyroux se sont vus décernés les prix. Les élus locaux ont choisi quant à eux Roger Viel.

Le travail d’Alain Boell, de la Couture-Bossey a été salué : à l’huile, il transcrit fort bien la nature des bords de l’Eure. Le président quant à lui aime faire travailler les méninges du chaland. Le « demi diptyque éclectique » ou le « tiers de tryptique atypique » mériteraient à eux seuls une encyclopédie…

Lors du vin d’honneur Jean-Luc Miraux, Joël Bourdion, sénateurs et Lehongre conseiller général n’ont pas manqué de saluer le travail des bénévoles. Ils ont félicité Michel Duval, le maire de Bueil, pour l’aide apportée par la commune à l’organisation de ce vingtième salon de peinture.

La République du Centre – Mercredi 27 octobre 2004

Yannick Tranquillin-Peyroux

Le 20ème salon de peinture de Bueil comptait six invités d’honneur et la qualité des oeuvres des autres exposants était remarquable. Le public, le jury et les critiques d’art professionnels sont unanimes pour souligner l’excellence de la qualité. Des oeuvres sortaient vraiment de l’ordinaire et elles furent appréciées à leur juste valeur.

C’est ainsi que Yannick Tranquillin-Peyroux venant du Calvados sut attirer les regards critiques de beaucoup de professionnels (et des visiteurs). Cette ancienne directrice d’agence immobilière de Deauville a attendu 29 ans pour s’adonner à sa passion de jeunesse : la peinture. Après quelques cours pour savoir manier la matière, elle vient de se lancer. Comme elle aime les grandes étendues de sable, elle peint à l’huile les immensités.

Seulement voilà, son amour du gris fait que tout devient brume. Une densité de gris variable rend en fait la vision paradisiaque. Elle joue aussi avec l’ocre et le noir. Le tempérament tumultueux de l’artiste est visible sur les oeuvres. C’est sa première exposition mais dès à présent l’on sait qu’une galerie l’attend à Knokke-le-Zout et que le salon des indépendants à Paris lui ouvre ses portes en 2005.

Originaire d’Ezy

Emmanuelle Lemetats est la régionale de ces quelques lignes. Elle est la fille du maire-adjoint d’Ezy-sur-Eure, Pierre Girardeau. Elle serait tombée dans la gouache étant jeune. Mais après, elle a préféré s’instruire pour devenir architecte. Pour complèter, elle a fait l’école Boulle.

Avec toutes ces techniques apprises, elle oublia un peu le traditionnalisme, ce qui lui vaut maintenant d’excellentes critiques sur ses oeuvres.

Avec une couleur de base, l’artiste démontre que l’on peut en tirer plusieurs puissances et ainsi attirer favorablement l’oeil. Sa manière aussi de voir un paysage est surprenante mais fort agréable.

Elle a eu sa place à la biennale de Chatou mais aussi maintenant dans une galerie parisienne (6ème).

Ces deux peintres donnent raison aux organisateurs bueillois lorsqu’ils sélectionnent les oeuvres. D’année en année, cette manifestation culturelle démontre qu’il n’y a pas que dans les villes importantes que l’on peut parler d’art et de culture et c’est tant mieux.

La République du Centre – Jeudi 4 novembre 2004